Croyants comme non croyants, lisez cette merveilleuse balade et prenez conscience.
Ils ont cessé de croire en moi
C'est pourtant moi qui les vivre
Et si quelqu'un parle de moi
Ca fait sourire ou ca fait rire
Tant qu'ils étaient de pauvres gens
Ils me faisaient des monuments
Des Cathédrales, des pierres de taille
Mais ils sont riches et ils s'en fichent.
Alors je crève, oui je crève, oui je crève sans bruit
Pourtant je leur avais donné
Pour eux tout seul un monde entier
J'avais fait coulé les rivières
Remplis les mers, fleuris la terre.
Ils ont gaspillé l'univers
Tué les fleurs, salis les mers
Les enfants crachent sur leur père
Et l'amour a fui la terre.
Alors je crève, oui je crève, oui je crève sans bruit
Ils se sont servis de mon nom
Pour massacrer, pour faire souffrir
Mais je veux demander pardon
D'avoir fait l'homme sans réflechir.
Tant que j'existais dans leur coeur
Je croyais pouvoir les sauver
Maintenant qu'ils m'ont oublié
Ca me fait peur et puis j'ai peur.
Alors je crève, oui je crève, oui je crève sans bruit
Oui je crève, je crève, je crève d'ennui.
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